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Olivier Pé

Les apparences n’ont pas le dernier mot, elles sont le lieu d’un obscur devenir, l’abri d’une secrète agitation, d’une trouble et chaude nudité qui voudrait se dire mais ne consent à aucune fin.

Aux prises avec les liens et les enclos qui la tiennent à l’écart de sa nuit, de l’absence et de l’obscurité, j’envisage l’écriture d’une pensée qui embrasse l’ouvert, d’un regard à la mesure de l’inconnue où il va
se perdre, logos comme une manière d’habiter chaos et d’y tisser les singulières rencontres.

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